L'homme... Ennemi de sa propre terre...

Depuis qu'il est en âge de créer et construire, l'homme s'est mis à vouloir tout contrôler. D'abord le territoire qu'il s'est choisi, puis la flore, la faune et même la météo. Ce considérant tout puissant, certains même se sont mis en tête de contrôler l'espace, le temps et la création elle-même. De nombreuses Teams ont vu le jour, agacé ou réveillé les Légendaires, se sont pris une raclée et se sont fait pardonner...

... Jusqu'à la fois de trop. Les Pokémons légendaires et fabuleux qui ont alors déserté la terre, la laissant sous le déchainement des éléments divers et variés comme ils n'étaient plus là pour les contrôler. La vie est devenue dure, difficile et de nombreuses espèces Pokémons ont disparu. L'humanité, combative, n'a pourtant pas baissé les bras et pour s'aider les uns les autres, un conseil des Maitres vit le jour, gérer par chaque Maitre Pokémon de chaque région et dont le but était d'essayer de sauver ce qu'il restait de la terre.

Un hiver, l'Agence Spatial de Kalos (ASK) demanda audience devant ce conseil pour leur faire part de leur découverte: Un portail stable vers une planète à l'atmosphère identique à la terre avant que les Légendaires ne l'abandonnent: Akébie. Le débat fut vif, parmi le conseil, entre ceux désireux la coloniser aussitôt et ceux qui se souvenaient de la raison de la disparition des Pokémons les plus puissants. Hors de question, pour ces derniers, d'anéantir une nouvelle "terre". Un compromis fut finalement décidé d'y envoyer quelques Pokémons pour en vérifier, avant tout, la viabilité. Non seulement les Pokémons s'y adaptèrent, mais ils mutèrent pour s’adapter à leur environnement. On les nomma dès lors: les Fakemons.

Il fallut encore bien du temps avant qu'un nouvel accord fut conclus pour y créer une base autonome et écologique. Des Pokémons dressés au bâtiment et à l'agriculture furent envoyer pour créer celle-ci, mais au fil des années, n'ayant aucun "Maitre" sur Akebie, ils finirent peu à peu par retrouver leur liberté. La base ayant pourtant suffisamment avancé, il fut ordonné d'y installer un premier petit groupe de 25 personnes. Scientifiques et militaires, surtout, mais quelques rares civils triés sur le volet également. Les conditions pour faire parti des rares personnes autorisés étaient nombreuses et la véritable raison de cette mission étaient assez flou. Certains parlaient d'étude d'un nouveau monde, d'autre de colonisation, mais ce que tout le monde savait, en revanche, que ce n'était qu'un aller-simple.